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22 sept. 2012
19 sept. 2012
Thomas Covenant - illustration
En ce moment je lis Les chroniques de Thomas Covenant,
une épopée fantastique de Stephen R. Donaldson.
L'histoire :
Thomas Covenant a tout perdu le jour où un médecin lui a diagnostiqué la lèpre :
sa femme est partie avec son fils et sa maladie a conduit à l'amputation de deux
de ses doigts.
Rejeté, traité en paria par ses voisins, il
vit seul chez lui.
Un jour, après avoir été accosté par un mystérieux
mendiant,
il se fait renverser par une voiture et est projeté
dans le Fief, un monde étrange.
Invoqué par Turpide le Rogue, Covenant est
chargé d'aller rapporter une prophétie
aux Seigneurs du Fief : dans 49 ans, le Rogue attaquera le Fief,
et le lépreux sera l'instrument qui mènera le monde à sa ruine.
aux Seigneurs du Fief : dans 49 ans, le Rogue attaquera le Fief,
et le lépreux sera l'instrument qui mènera le monde à sa ruine.
À cause de sa main amputée et de son alliance d'or blanc,
les habitants du Fief pensent que Covenant est la réincarnation de
Berek Demi-Main,
un héros de jadis, et qu'il est donc l'unique espoir de
sauver leur monde.
On pourrait comparer cette histoire à la trilogie Le Seigneur des anneaux,
mais il n'en est rien. Le personnage principale est un anti-héros,
tourmenté et qui à tout perdu, en quête malgré lui d’une raison d’exister.
Au-delà de la remarquable profondeur psychologique, les Chroniques dépeignent
une contrée haute en couleurs, peuplée de créatures étranges et merveilleuses,
baignant dans une mythologie complexe, d’une grande beauté,
tout en évitant les clichés propres à ce genre.
une contrée haute en couleurs, peuplée de créatures étranges et merveilleuses,
baignant dans une mythologie complexe, d’une grande beauté,
tout en évitant les clichés propres à ce genre.
Tous ça pour dire qu'en voyant les couvertures des livres je me suis dit
qu'elles étaient vraiment pas fameuses! éé
qu'elles étaient vraiment pas fameuses! éé
Donc je me suis lancé dans la réalisation d'illustrations expliquant vraiment les éléments de l'histoire.
Le TOME 1 :
Le TOME 1 :
17 sept. 2012
12 sept. 2012
5 sept. 2012
3 sept. 2012
l'Ortie
Usages et vertus de l'ortie (Urtica dioïca).
Forcément elle pique et à tendance à être envahissante
alors il faut s’armer de gants et prendre le temps de la récolter.
Tout d’abord quelques informations pour se motiver.
Avant tout, pourquoi pique t-elle ? Pour se protéger de ses
consommateurs trop voraces,
elle s’est armée sur toute sa tige et le
dessus de ses feuilles de poils creux,
cassants à la
moindre caresse et contenant un mélange responsable de cette sensation de brûlure.
Mais
une fois cuite, séchée ou finement hachée, elle ne pique plus !
Il n’y a donc aucune raison de s’en priver, il faut juste trouver la
bonne méthode de récolte.
Quelques conseils de récolte : Tout d’abord bien choisir son lieu de
cueillette,
l’ortie est une plante dépolluante (jamais sur le bord des
routes et vérifier si le terrain
n’a pas servi de
décharge dans le passé car elle aime s’y installer),
privilégier les
plantes à l’ombre, elles sont plus tendres
et ce sont les jeunes
pousses que l’on ramasse.
On peut la cueillir presque toute l'année (ce
qui n'est pas le cas d'autres plantes).
En en fauchant un petit carré,
elles vont repousser et les jeunes pousses seront bien tendres.
En général, on cueille des jeunes pousses mais il est possible
En général, on cueille des jeunes pousses mais il est possible
de prendre
des orties déjà bien développées.
Auquel cas on ne prend que la partie
supérieure (après la 5ème feuille).
L’ortie contient des
vitamines (plus riche en vitamine C que l’orange par ex.),
de nombreux
sels minéraux, des protéines et encore d’autres
éléments très intéressants
sur le plan nutritionnel, d’où l’usage
culinaire et médicinal
(jouant également un rôle d’épurateur outre les
nombreux apports renforçant l’organisme.)
On l’utilise principalement en cuisine dans les purées, soupes,
tarte ou cake salés...
Et si l’ortie est bénéfique pour nous, elle l’est aussi pour nos
animaux.
Un dicton populaire dit : « De l’ortie dans le poulailler,
c’est un œuf de plus dans le panier ».
D’une manière générale
elle renforce la résistance des bêtes
et puis avec ses propriétés
galactogènes,
la production laitière est plus importante et de meilleure
qualité.
Une autre utilisation de l’ortie bien connue : le purin (à voir article précédent).
La tisane,
la décoction sont d’autres préparations possibles
et on peut aussi
l’utiliser fraîche dans le trou de plantation.
Il est
intéressant d’en jeter quelques feuilles dans le compost pour
accélérer
sa décomposition et l’enrichir d’éléments minéraux.
Outre cet
aspect, la présence de l’ortie dans le jardin est un bonheur
pour les insectes.